Après un court affrontement d'autres ennuis ? [PV ONYX ! (Attention moment violent dans le premier poste.)]

Invité

Cela devait déjà faire deux trois jours qu'il était suivit, par qui il ne savait pas, mais il avait put voir le nombre de poursuivant, cinq. Le pire était que parmi eux il sembla y avoir des gens sachant se battre aussi bien que lui, combien de personnes en voulaient à sa tête ? Tel était la question qu'il se posait régulièrement, bien que la nuit avait été calme, ce fut au levé de soleil, à Rakem qu'il avait prit apparemment une certaine avance, chose qu'il n'avait guère prévu, c'était que la bourgade par laquelle il était passé était de mèche avec les poursuivants qu'il avait aux fesses. Enfin il poursuivit son chemin entendant des chevaux arriver à grande allure, juste quand il était à l'endroit le plus visible de ce monde... De ce royaume plutôt. Les champs fleurit, le regard se posant sur les fleurs il ferma un court instant les yeux, effectuant une roulade sur le coté pour éviter un coup d'épée cherchant à le décapiter, très vite il rouvrit les yeux, de là, observant ses opposants, c'était les cinq même qui le suivaient ses derniers jours. Les cinq descendirent de leurs chevaux, et un sixième qu'il n'avait pas vu vint à éloigner les chevaux, ce sixième était une fillette. Un léger soupire se laissant échapper des lèvres de notre Seivleyn, se dernier trouva ça un peu stupide d'emmener une enfant alors que le sang allait couler, où aller le monde ? Bref il garda un air calme, loin d'être effrayé, il fixa les uns après les autres ses opposants, deux armés d'épées batarde, un à l'arbalète, et les deux autres semblait être équipé d'une épée courte et un bouclier, situation qui n'était pas en sa faveur, mais bon, l'habitude dirons nous. Une habitude qui l'ennuyait à force et même si il aurait aimait se laisser tuer il n'aurait pu.

"Cinq contre un... Serait ce enfin la gloire que vous vouliez ? Pour ma part, peu importe ce qui m'attend, je ne me laisserais pas faire."

A peine ses mots finit qu'un carreau sembla passer non loin de lui, ils étaient dans une posture fait en sorte que ce soit l'arbalétrier qui l'abatte ! Ayant très vite comprit le sens de leur position, il courut vers eux, le temps que sa cible remette un carreau, il c'était appuyé sur un bouclier de son pied gauche et força, ce qui les repoussa et déstabilisa l'arbalétrier, celui ci venait de faire tomber son carreau, de son coté alors qu'il allait avancer de nouveau, ce fut en dégainait ses deux épées courtes qu'il bloqua à sa droite un des types armés d'une épée batarde, il la tenait à deux mains pour y mettre toute sa force apparemment. Alors qu'il pensa pouvoir le repousser, de sa gauche arriva le second, préférant se laisser pousser par l'attaque du premier, il se recula grâce à cette poussée. Les deux armés d'un bouclier préférèrent défendre l'arbalétrier, ce n'était pas au goût de notre criminel préféré. Celui ci devait se battre déjà contre deux mec bien baraqué, mais il profita d'une faille ! Oui... Ils avaient une seule technique, attaqué pour qu'il bloque et le second devait l'achever, bien qu'ils refirent cela, il évita le coup vertical plantant sa lame en plein estomac du premier, la lâchant pour ne garder qu'une lame en main, il se rua sur le second et le ceintura à la taille, le faisant tourner vers l'arbalétrier qui venait de tirer, lâchant celui qui lui eut servit de bouclier il l'acheva en l'égorgeant. Revenant vers le premier à être tombé il reprit sa lame, il n'y avait plus de doute, Seivleyn avait brisé leur technique basique.

"On m'a sous estimé à se point ?"

Alors qu'il courut en arc de cercle vers les trois derniers, l'arbalétrier l'eut à l'épaule gauche, mais cela ne le stoppa guère, un léger râlement de douleur et continuant sa charge, il percuta de son épaule gauche le premier au bouclier qu'il croisa, celui ci était à gauche de l'arbalétrier, de sa lame droite, il planta les cotes du premier protecteur, le second de panique sortit de sa position le poussant, l'équipe était mal préparé et il les avait sur estimé. Se retrouvant au sol, Seivleyn poussa de son bras droit le cadavre et de son arme gauche bloqua une attaque qui aurait put lui couter la vie, cette attaque lui érafla le flanc gauche, mais la blessure n'était pas légère. Se redressant l'arbalétrier tira un dernier carreau qui vint se planter dans le bras gauche de notre protagoniste, celui ci d'un geste fluide malgré une grande douleur trancha la gorge du dernier protecteur et de sa main droite, lança sa lame qui se planta directement dans le torse de l'arbalétrier. Désarmé, il regarda la filette. Celle ci était prise de panique, il n'eut juste qu'une mot à dire.

"Pars."

Celle ci s'exécuta récupérant avec elle les chevaux. Seivleyn se laissa tomber sur le sol fixant le ciel et levant la main vers le soleil.

"Combien de temps encore cela durera...N'ont ils pas compris que la mort ne m'a pas encore acceptée ?"

Ricanant légèrement notre criminel n'eut plus qu'à attendre, observant les nuages, laissant sa main retomber au sol, laissant le silence et... Des bruits de pas approcher.

J'en avais mais tellement marre de cette mission qui durait depuis presque deux mois! Je venais juste de rentré d'Erain qu'on avait besoin de moi à Rakem! Et pour je ne sais combien de temps en plus! Pour quoi? Pour surveillez le temple de la déesse Sady. Vous parliez d'une mission palpitante! Surtout qu'à côté je devais gérer mon devoir de veilleur pour le mois; C'était absolument pas pratique! Mais bon je devais obéir. Et dire qu'après je savais qu'on avait de nouveau besoin de moi à Erain! Mais que j'en avais marre! je voulais un peu me reposer moi! Enfin pour la seconde mission à Erain je crois que j'allais pouvoir tuer quelqu'un. Je baillais longuement en m'étirant voluptueusement. Pour une fois j'avais garder et mon nom et mon grade. L'avantage ultime d'être Veilleur de l'ombre: on gardait son identité, son grade, on avait une maison pour nous seule! Pas de paillasse avec des poux ou des puces! Le rêve! Enfin surtout quand nous n'avions aucun mioches dans les pattes. Mais vu qu'en ce moment les dames enceintes ne courraient pas les rues ou alors pas de leur quatrième enfants c'était parfait.

Dehors il faisait beau. Pour Rakem c'était bien. Parce que l'hiver arrivait plus vite ici , et encore plus vite à la bâtisse. Il devait sans doute déjà neigé là haut. J'enfilais rapidement mes habits aussi noirs que la nuit et arrangeais vaguement mes cheveux. Malgré le grand soleil j'attrapais ma cape et l'enfilais avec soin avant de rabattre le capuchon sur mon front. Il avait beau faire un grand soleil à Rakem il y avait toujours ce petit vent glacial qui se faufilait partout pour vous geler les os. J'attrapais ma ceinture et examinais mes dagues. Bien affutées parfait! Je passais ma ceinture avant de sortir et de refermer la porte derrière moi.

Généralement les gens ne venaient pas d'eux même ici mais parfois des idiots pouvaient venir essayer de voler quelques petites choses.... C'était stupide il n'y avait rien de précieux ici. Où pourrais-je bien aller? J'avais fais mes achats pour le mois en arrivant et aller dans la bourgade ne m'attirais pas plus que ça pour l'instant. Pas que les gens me gênent mais quand même un peu! Et les prêtre et prêtresse de Sady ne venaient que rarement au village. Je réfléchis. Aller! Va pour les champs fleuris! Un bon coin à l’abri des regards pour se balader un peu. Je passais quand même dans l'écurie attenant au bâtiment pour vérifié que mon cheval aussi noirs que mes habits avait à boire et à manger avant de le sortir dans son près. Il fallait qu'il se dépense un peu. Dés que cela fut fais je me dirigeais vers ma destinations

Je mis une petite vingtaine de minutes à arriver à ma destinations. Malgré le temps froid les fleurs étaient toujours présente et leur parfums entêtant. C'était agréable cet immense tapis multicolore qui se balançait au gré du vent. je baillais un coup. Je détachais ma cape avant de recherche un coin tranquille où m'installer. Je découvris bientôt un petit creux à l’abri des regards où je m'installais avant de fermer les yeux. Que je rouvris presque aussitôt en entendant des bruits de combat et une forme odeur de sang.

J'attrapais ma cape et me mis à ramper pour voir ce que c'était. je reconnu sans peine l'homme qui se battait. Je l'avais déjà vu sur des affiches de recherche: Seivleyn Fyld. Il se battait plutôt bine contre ses adversaires; JE restais là sans intervenir. Ce n'était pas mes affaires . JE n'avais pas reçu l'ordre de le tuer. J'attendis qu'il finisse de se battre pour me lever et m'approcher de lui à pas souple. Il m'avait entendu venir. Normal je n'avais nullement chercher à cacher ma présence. De toute façon. Je lui tendis la main en le fixant droit dans les yeux sans émotions sur le visage

-Onyx Shadox, Veilleur de l'Ombre. Joli combat. Fis-je

C'était une présentation simple et efficace. Je le surveillais quand même mais je ne pensais pas qu'il puisse me battre. Surtout que comme la majorité de nos lame ma dague était empoisonné. Et que j'étais immunisé. Pas lui.

Hrp:

Spoiler:

Invité

Bien que les pas s'approchèrent, dans la tête de Seivleyn c'était un nouveau combat qui allait devoir s'annoncer, un affrontement dont il ne pourrait gagner si la personne profitait de sa situation. Bien sûr, seul un lâche en aurait profité, la surprise qu'il eut, fut de voir que l'on lui tendit la main, il put rapidement deviner à qui il avait à faire. Un mercenaire de l'ombre, Seivleyn n'avait jamais eut à en affronter, bien qu'ils soient réputés nul n'est invincible n'est ce pas ? Devenir invincible était peut être une chose à laquelle il aurait dû songer, bien que cela n'était pas utile car sa vie à ses yeux n'avaient de valeurs qu'à ceux qui l'avaient mis à prix. En y pensant, le mercenaire de l'ombre aurait eut à le tuer, cette dernière serait directement passée à l'action, elle n'était ni amie ni alliée, mais elle lui proposa de l'aider à se relever, dans sa tête il n'y avait pas d'hésitation, venant à saisir la main de cette personne, il se releva dans le silence, une fois sur pied, ce fut avec un sourire des plus léger qu'il déclara d'une voix calme et douce.

"A croire que la chance est de mon coté... Je ne dois pas être intéressant pour être encore en vie dans un sens."

Ses deux armes étaient plantées dans les corps de deux de ses adversaires d'il y a quelques minutes, mais ne cherchant pas à les récupérer tout de suite, il se figea dans le silence, le regard se levant vers les cieux, quelques nuages blanc à l'horizon. Seivleyn avait vraiment eut de la chance sur ce coup là qu'un mercenaire ne soit pas à ses trousses, désarmé il était sûr qu'il n'ai aucune chance et puis... Fallait-il déjà vouloir poursuivre ce combat, mais là à l'instant, le ciel qui était si beau lui rappela une chose. La gamine qu'il eut laisser partir, il était sûr d'avoir bien fait malgré que les choses se retourneraient encore une fois contre lui. D'un soupire il se disait qu'il valait mieux pour lui de partir et la laisser tranquille, Seivleyn vint à reprendre ses deux épées, ne touchant pas aux affaires de ses victimes, un air calme et doux sur le visage, comme si il semblait ailleurs. Bien qu'il se reprit rapidement, rengainant ses armes, il se tourna vers la jeune femme. Onyx... Ainsi avait-elle était nommée. Seivleyn n'était pas du genre à oublier le nom des gens comme ça. C'était même plutôt rare que l'on se présente à lui et qu'on le félicite sur son combat. Venant désormais tenir son flanc gauche, sa blessure bien que légère pouvait paraître gênante, mais aux yeux de notre criminel ce n'était que superficielle. Des blessures il en aura toujours, ce sont des choses qui ne changeront pas après tout.

"Pas besoin de me présenter je suppose."

Son sourire s'effaça, laissant place à une expression des plus calmes, en fait il se demandait ce qu'elle faisait là. C'était tout de même curieux, elle ne sembla pas être en mission, donc. Que faisait-elle ? Passant son regard sur celui de son interlocutrice, il en avait déjà chassé la pensée. Après tout peu importe, tant qu'elle n'en avait pas après lui. C'était le plus important, cela lui évitait un combat inutile en prime. Le genre de combat dont il se passerait bien. Son regard vint à se détourner vers les fleurs, toujours un peu de silence apparemment, silence qu'il brisa d'une voix des plus calmes. Et des plus délicates surtout.

"Je ne pensais pas à avoir me battre ici, j'ai gâché un tel paysage, c'est écoeurant non ?"

Dans un sens qu'elle comprenne ou non, cela n'avait pas de réelle importance.

Je fixais le "grand" criminel puis les champs remplit de fleurs et enfin les corps des hommes qu'il avait tué. Je m'approchais des cadavres et les retournais du bout du pied pour qu'ils regardent le ciel avant de les remettre face contre terre. Il les avait bien tué. Je regardais un instant l'horizon avant de reporter mon attention sur Seivleyn.

-On a sans doute reçu des plaintes à ton sujet, peut-être même un contrat, mais je ne m'en occupe pas. Je suis ici pour Veiller. Rien d'autre....

Je m'étirais longuement en faisant craquer mon dos. Je me remis à observer le paysage. Au loin je voyais des nuages noirs venir vers nous. Le beau temps allait disparaitre. Dommage. J'aimais bine le soleil moi. Je ne le voyais pas beaucoup lorsque j'étais chez moi. Seivleyn se tenait le flanc. Il avait reçu une blessure pendant le combat. Enfin contre cinq adversaire c'était normal. Je jetais un nouveau coup d’œil au corps puis au paysage.

-La mort n'est pas macabre, elle est nécessaire. Après tout si la mort est macabre ce paysage l'est aussi.

J'attrapais une fleur et l'arrachais avant de lui tendre sans sourire ni aucune émotion.

-Tiens, voila un nouveau cadavre.

C'était une jolie fleur, d'un violet profond avec le coeur d'un jaune pâle éclatant. Je frémis légèrement quand je frôlais le bout de ses doigts calleux preuves d'un entrainement rigoureux. Je devais avoir les même cales surement. C'était les cales des guerriers ces cales là. Mais si le contacte m'avais provoqué un frisson je ne laissais rien paraitre. Je m'enveloppais dans ma cape au moment où une violente bourrasque siffla dans la plaine faisant onduler le tapis fleuris. J'attrapais ma capuche et la rabattis sur mon front. A la bâtisse bien sûre qu'il y avait ce genre de vent plus que désagréable et bien plus violent, mais on portait nos vêtement de cuir doublé en laine, pas ici. Même si malgré cette couche le vent passait quand même.

Enfin, je fiais l'homme aux lames qui semblait surpris de ma pensée. Un silence pensant planait entre nous. j'en eus un vague sourire.

-Ce que j'aime dans la mort, c'est son silence absolu. Pas toi?

Je m'assis près de lui, dos aux cadavres. On serait plus à l'aise pour discuter assit que debout. De toute façon je n'avais rien à faire pendant un moment. Et j'imaginais que lui non plus. Je remontais mes genoux contre ma poitrine; Comme ça on aurait dis une position assez peu pratique pour combattre mais c'était tout le contraire je pouvais pousser sur mes jambes pour décoller rapidement tout en sortant ma dague. Enfin.. Bon vu son état j'imagine qu'il ne voulait pas me tuer. Ou même engager un combat contre moi.

Je suis désolée j'ai écris comme un pied et c'est de la merde. Désolée de cette réponse nulle.

Invité

Elle l'avait fixé, certes c'était une mercenaire de l'ombre, mais ce qui était sûr, c'était qu'il n'avait rien à craindre d'elle pour le moment, par la suite elle vint retourner les cadavres du bout du pied, ainsi elle pouvait sûrement constater leurs morts, mais par la suite elle les remit face contre terre, toujours du bout du pied. Seivleyn était là, à se poser une simple question. Celle ci était sur le temps qu'il lui restait à pouvoir vivre. Pourquoi cette question ? Rencontrer un mercenaire de l'ombre ici n'était peut être pas le hasard, mais Seivleyn n'en avait que faire, le jour où viendra son heure, hé bien elle viendra. La peur n'était pas une chose qu'il connaissait, le courage était quasi inexistant en lui, comment être courageux quand on ne connaît pas la peur. Ensuite ce fut la voix d'Onyx qui brisa son instant de pensée, certes les nobles avaient dû se plaindre de ses agissements, peut être même que des mercenaires de l'ombre étaient à ses trousses. Flippant ? Non, cela ne fit qu'avoir un léger sourire à notre criminel qui savait qu'un jour où l'autre il sombrerait dans la mort. Elle avait même ajouter qu'elle était là pour veiller. Lors de son long périple, il avait longuement put comprendre comment certaines choses fonctionner, où et quand. Le seul endroit qu'il n'avait pas put encore voir était simplement la bâtisse où résidaient tout simplement les mercenaires de l'ombre, enfin... Dans un sens cela n'avait pas d'importance car il avait sa soit disant liberté, même si à ses yeux tous étaient en cage pour tels ou tels raisons.

S'étirant la demoiselle sembla dés à présent observer le paysage, au loin l'on pouvait voir de sombres nuages, sûrement un orage. Le paysage allait sûrement s'assombrirent, quelle tristesse. Enfin dans un sens le lieu dit macabre par la demoiselle allait l'être encore plus. Alors qu'il continua d'observer un instant les nuages, à la phrase par rapport au paysage macabre il vint à répondre, son sourire était fin et léger mais présent, un léger ricanement en prime, il ne voulait pas paraître agaçant, mais ce qu'il sortit fut plus fort que lui.

"Si l'on trouve la mort macabre et les lieux où il y en a eut, tout est macabre, la vie est donc macabre ?"

Cette question n'était pas innocente, cette manière de tester la pensée de la mercenaire de l'ombre, c'était un peu sa façon pour montrer qu'il cherchait à comprendre certaines choses. Seivleyn posa désormais son regard sur cette jeune femme, Onyx... Celle ci vint à arracher une fleur du sol, déclarant que c'était un nouveau cadavre, il la laissa la lui remettre, pas un mot, juste un sourire léger. Son regard était toujours si calme, en effet, cela pouvait se voir qu'il n'avait pas eut de discussion avec quelqu'un depuis longtemps, après tout, qui taperait la causette avec un criminel ? Quelqu'un qui est sûr de pouvoir le tuer à son moindre faux pas, là vu son état, il semblait tout aussi bien être une cible facile. Le silence qui venait de s'installer encore fut assez long, au point qu'elle déclara après, un temps soit peu avec un léger sourire... Elle lui demanda ce qu'il aimait dans la mort, première fois que l'on lui posa cette question. Quoi répondre à une tel question ? Le mystère laissa place, il était légèrement surpris d'une telle question, il lui fallait tout de même répondre, la réponse lui vint tout seul, la fixant, prenant un air plutôt joyeux il déclara simplement.

"Ce que j'aime dans la mort ? Je ne sais pas, je ne suis pas encore mort, mais ce que j'aimerais... C'est secret navré."

A la fin de sa phrase alors que le vent souffla encore, balayant sa chevelure noir, son expression avait changé, L'homme qui tenait la leur qu'elle lui avait mis entre les mains, il la libéra la laissant partir au souffle du vent, s'élevant dans le ciel, il observa la fleur et reprit.

"En fait, je pense que la solitude ne me changerait pas de mes habitudes. J'aimerai être accompagné dans la mort, c'est mon seul souhait. Si jamais une personne est en charge de me tuer, fait lui savoir que peu importe le résultat, je ne partirais pas seul."

Reposant un sourire et son regard sur elle il n'en ajouta pas un mot, même si le vent frais soufflant sur sa plaie l'embêta légèrement, il n'en disait mot.

Pensive je fixais la fleur que Seivleyn avait lâché dans le vent; On aurait dit la parfaite incarnation de la vie. Balloté dans tous les sens sur le point de chuter et de disparaitre à jamais. Je reportais mon attention sur cet "immense" criminel. Il était plutôt mignon comme ça: les cheveux au vent bien droit une main sur sa blessure. Le pauvre il devait avoir mal. Je fouillais dans ma pochette qui ne me quittait jamais; Je me levais ayant trouvé ce que je cherchais. Je m'approchais de lui et lui ôtais sa main.

-Bouge pas je m'occupe de ça.

Je relevais sa tunique jusqu'à voir sa blessure. je l'examinais rapidement avant de la renifler. Non pas de poison. Ça c'était bien. Comme ça je n'aurais pas besoin de le ramener chez moi. Je nettoyé un peu sa blessure avant de la bander avec soin. Je sortis un instant une aiguille qui d'habitude servait à assassiner mais qu'ici je me servis pour anesthésier la douleur en la plantant en un point d’acuponcture. Je rabattis sa tunique sur le bandage avant de m'étirer de nouveau longuement.

Je regardais de nouveau l'horizon. Cet homme avait peur d'une mort solitaire donc... Logique. Et moi? En avais-je peur? Je réfléchis sans rien dire toujours près de l'homme envelopper dans ma cape. Je n'avais pas vraiment d'amis à part Jenifaël que j'avais épaulé lors de ma dernière mission. Je sentis les premières goutes de pluies me giflais le visage. Je rabattis mon capuchons d'avantage sur mon visage. Il n'y avais pas d'endroit où s'installait? Enfin ce n'était qu'un petit crachin qui s'arrêta aussi vite qu'il était venu. Je repoussais ma capuche en arrière et suite à une bourrasque mes cheveux filèrent hors du col de ma cape qui se gonfla autour de moi. Je savourais pendant l'instant que dur a la bourrasque cette sensation d'envol , de liberté. J'avais l'impression de ressentir cette sensation quand je jouais des personnage très complexe qui en apparence laissé peu de liberté. Mais que moi j'adorais jouer parce qu'en faite ils étaient remplit d'une liberté profonde.

Je me laissais de nouveau tombé au sol pour discuter vraiment avec l'homme; je lui fis signe de s'assoir.

-Dis moi. Je ne connais absolument pas ton histoire. Et vu ta manière de te battre tu n'es pas le fils d'un paysan. Qui t'as entrainer?

Question indiscrète bonjour. Mais c'était dans ma nature. Et j'attendais une réponse.

Invité

Seivleyn qui garda son regard sur elle fut surpris d'une chose. Elle vint à s'occuper de sa blessure, enfin... Lui un criminel ! Etrange, mais surprenant, il la laissa faire ne bougeant pas, c'était étrange, c'était depuis longtemps que l'on ne c'était pas occupé de lui, dans son regard l'on ne pouvait pas manquer la surprise qu'il avait, pourtant il la laissa faire gardant un sourire fin et léger, la jeune femme vint à voir si sa plaie était empoisonner, lui même se doutait que cela aurait pu être possible mais il avait la certitude que non. Pourquoi ? Car ses adversaires n'avaient pas l'air de s'y connaître en poison, enfin c'était une chance pour lui. Hors il savait que la chance pouvait tourner, ce n'était pas chose rare ça. Hors pour le moment il préféra profiter de la chance actuelle qu'il possédait, la demoiselle s'étira alors, il garda son regard sur elle, un regard calme et serein, avec un sourire réconfortant, pourquoi un tel sourire ? Lui même ne pouvait réellement le dire, il ferma les yeux quelques secondes pour les rouvrir, le temps de ses courtes secondes il avait put en conclure une chose. Ce n'est pas aujourd'hui qu'il mourra. Quelques gouttes de pluie vinrent à rencontrer le visage du criminel, ce n'était que léger et cela n'avait pas durer longtemps, le temps semblait aussi se rafraichir, hors... Comparé à la demoiselle, il n'avait pas de cape, entre temps, ayant l'impression que leur rencontre avait chassé entre autre la vie monotone de la mercenaire de l'ombre, il leva le regard vers le ciel pour réfléchir. Ce fut en abaissant à nouveau sur elle son regard que le vent vint à souffler un coup, les cheveux de la demoiselle valser avec le vent, la cape se gonfla, l'air qu'elle avait sur l'instant était assez surprenant, mais il ne savait pas qu'elle mot serait bon à employer pour décrire se qu'il voyait. Lors de ce court temps il sentit un sentiment qui ne lui était pas inconnu, un sentiment si troublant, il ne détourna pas le regard, comme si face à lui Seivleyn avait l'incarnation de la liberté. Mais de quelle liberté ? Celle de ne pas être poursuivit ? Celle de faire ce que l'on veut ? Il y avait tant de forme de liberté... Des lors qu'elle se laissa tomber au sol pour s'installer, elle fit un signe pour qu'il s'asseye aussi, acceptant cette invitation, ayant aucune méfiance alors que si cela se trouvait des gens allaient peut être venir à leurs rencontre ? Seivleyn maintenait son regard sur elle, de toute manière, qu'il y ai un danger ou non, il le sentirait, après tout le temps qu'il eut passé à se battre et fuir pour survivre, son instinct était développé. La demoiselle vint alors quelques secondes après lui poser une question, elle allait avoir une réponse, mais avant de répondre, il eut un léger ricanement, ce dont il se rappela si bien de son passé, des choses gravé dont il ne pouvait se séparer.

"Ce dont les gens ont oubliés de moi, dû moins ce que celui qui m'a entraîné cache, est notre lien de parenté, mon père est un chevalier très connu de Rakem. Estéliandre Fyld."

Estéliandre Fyld, un chevalier connu. Seivleyn n'était autre qu'un bâtard, c'était normal que leurs liens de parentés ne soient pas vraiment connut, d'ailleurs quand il y repensa, cela faisait des années qu'il ne l'avait pas revu, sûrement qu'à l'heure d'aujourd'hui il chercherait à le tuer. ce qui ne troubla pas pour autant notre criminel, après tout, la femme qu'il avait en face de lui était sûrement la première personne à l'avoir aidé, c'était même la première à ne pas le fuir ou pointer une arme sur lui. Bien que le vent souffla une nouvelle fois, dans le regard de notre Seivleyn, l'on pouvait remarquer qu'elle avait attirée son attention, après tout personne ne c'était intéressait à son passé au par avant, Seivleyn n'était qu'une graine impure de ce monde pour beaucoup, il se disait aussi à lui même qu'un jour où l'autre il mourra et que sa vie sera courte. Malgré le fait qu'il ai aidé aussi des gens dans le besoin en s'en prenant aux nobles. Risquer sa vie pour des gens n'ayant aucun moyen, il l'avait déjà fait quelques fois, mais ce que l'on retenait de lui, c'était qu'il s'en prenait aux nobles, qu'il faisait couler le sang. On ne retenait que le négatif.

"Ma vie n'a toujours été qu'un long affrontement, depuis mon enfance, pour toi ce doit être à peu près la même chose, je me trompe ?"

Dans sa voix l'on pouvait sentir qu'il y avait du regret, mais qu'il était confiant, Seivleyn tourna le regard vers une fleur, identique à celle cueillit plus tôt.

"La fleur de tout à l'heure... Le pollen à dû s'envoler avec le vent, cela fera pousser d'autres fleurs encore."

Ce fut sur cette phrase qu'il se laissa s'allonger au sol, fixant désormais le ciel, restant tout de même à l'écoute envers la demoiselle, pour lui, la vie était faites d'affrontement et d'épreuves, il n'avait eut que rarement des moments de repos, rarement le temps aussi de prendre le temps de se soigner correctement par moment, fuir, combattre et fuir à nouveau.

Après un court affrontement d'autres ennuis ?

Feat Seiv

Estéliandre Fyld.... Je n'avais pas entendu dire ou parler qu'il avait eu un fils... Ainsi ce charmant criminel était donc le bâtard d'un chevalier. Qui l'avait élevé. Et apprit à manier l'épée. En voila un qui devait se mordre les doigts à sang vu le magnifique résultat de son entrainement que j'avais sous les yeux. J'écoutais la suite de ses questions et ses remarques en m'allongeant. Oui cette fleur allait crée de nouvelles fleurs. Et mon enfance? Je fermais les yeux une seconde. Mon enfance. Cela remontait à loin. j'eus un sourire qui flotta sur mes lèvres avant de disparaitre.

Mon enfance à la bâtisse hein? J'avais commencé comme les autres mon apprentissage à trois ans. Cela avait été très dur mais un véritable combat? Si j'avais vécu avec mon "père" oui ma vie aurait été un combat. Mais la bâtisse un véritable affrontement? Un affrontement mental pour repousser mes limites mentales, des affrontements d'entrainements avec les autres. Peut-être au moment où j'avais été diplôme? Et encore? Non comparé à la vie de certaines personnes non. J'avais une vie des plus tranquille. Enfin si on peut considérer que le fait de changer de lieux de vie presque tout le temps lorsque nous avions des missions, tué , espionné etc les gens était une vie normal. Je sentis une présence au-dessus de moi. Surprise j'ouvris les yeux et d'un geste automatique sortis une longue aiguille de ma pochette et piquais le cous de Seivleyn qui était penché sur moi.... Un peu trop près mais l'air totalement inoffensif. Je le fixais dans les yeux surprise mon aiguille toujours appuyé sans l'avoir blessé sur sa carotide

-Désolée. Fis-je en faisant disparaitre l'aiguille sans bouger. Je ne crois pas que ma vie soit vraiment un affrontement pareil que le tiens.

Et soudain sans vraiment que je ne sache pourquoi je me soulevais de terre et le retournais sur le dos. Je m’assis sur son ventre avec un petit sourire en coin puis lentement je m'approchais de son visage. Mes cheveux tombèrent en rideau autour du sien.

-Mais peut-être que bientôt je devrais me battre.

Et je déposais mes lèvres sur les siennes. Toujours sans trop savoir pourquoi. J'en avais envie c'était tout; j'avais envie de faire ça maintenant et pour longtemps.

Invité

Le contacte des lèvres de la demoiselle était si doux malgré le fait qu'il avait faillit se faire planter une aiguille mortel. Mais la peur n'était pas présente, il savait bien qu'elle et lui ressentaient la même chose. Peut être qu'ils se comprenaient dans un sens et peut être était-ce cela qui les poussèrent à la suite des évènements, bien que Seivleyn était quelqu'un de réputé dangereux, il avait un coeur, nul ne pouvait en douter. Mais ce qui était aussi intéressant à savoir, ce fut que la mercenaire face à laquelle il se trouva en avait un aussi. Et plus délicat qu'on ne pouvait le penser peut être ? D'un baisé et suivit d'autres mouvements il se produisit ce qu'il se produisit !

_________

Seivleyn et la demoiselle était revêtit, hors dans un sens Seivleyn savait qu'il devait filer, tournant un regard doux à la jeune femme dont il revint déposer un baisé il lui murmura les quelques mots suivants.

"Tu sauras où me trouver je pense. J'espère te revoir vite."

Un dernier baisé et l'homme dû reprendre la route, il préféra car... Il ne voulait aucunement la mettre en danger en sa présence, lui qui était réputé pour être un criminel dangereux. Enfin... Partant à contre coeur, le bandit ne pouvait se retourner, gardant un air calme et un regard qui en était tout autant même si dans le fond de son âme l'envie de rester encore avec Onyx était présent, mais sachant faire le tri, il préféra qu'elle évite de se mettre en danger en sa présence, préférant reprendre la route, reprendre un chemin qui lui serait sûrement difficile.

(Désolé je n'avais plus d'inspiration :/)

Rp finis ! :)

» Comme quoi y a toujours des gens qui passent (Ft Onyx)
» Comprends tu pourquoi tu dois devenir plus fort maintenant ? (Feat Luny) Attention -16 contient des scènes violentes.
» Ah tiens, t'es toujours vivante toi ? J'aurais juré avoir fait en sorte que quelqu'un te détache la tête du reste du corps. Dommage, une prochaine fois peut-être ? [Ft. Onyx]